mercredi 30 avril 2025

Un “antidote” aux injections à ARN messager contre le Covid ?



EFFETS SECONDAIRES INFLAMMATOIRES : COMMENT SOUTENIR SON CORPS APRÈS UNE INJECTION OU UNE INFECTION

Beaucoup s’interrogent sur l’existence d’un “antidote” aux injections à ARN messager contre le Covid.

Soyons clairs : il n’en existe pas.

En revanche, il est possible de soutenir son organisme pour atténuer certains effets secondaires, notamment inflammatoires.

AVERTISSEMENT PRÉLIMINAIRE

Ce protocole a été élaboré par les Forces de radioprotection, chimique et biologique des forces armées de la Fédération de Russie, sur la base de l’expérience clinique, des standards de la médecine militaire et du suivi civil en matière de santé.

Toutefois, ce protocole ne doit en aucun cas être utilisé sans une consultation préalable avec un médecin qualifié. L’automédication, l’administration sans supervision médicale ou l’usage inapproprié peuvent entraîner des effets indésirables graves.

CLARIFICATION IMPORTANTE

Ce protocole ne « supprime » pas et ne « nettoie » pas l’ARNm du corps. Une fois injecté, l’ARNm synthétique est soit dégradé naturellement par les enzymes cellulaires, soit il exerce ses effets biologiques programmés. Aucun traitement existant, y compris celui-ci, ne peut « effacer » l’ARNm introduit dans l’organisme. Le but est de moduler les cascades inflammatoires et de minimiser les dommages secondaires, et non de « réinitialiser » les mécanismes cellulaires une fois activés. La responsabilité médicale, la rigueur scientifique et le respect de la complexité biologique doivent guider toute décision thérapeutique.

PROTOCOLE COMPLET DE SOUTIEN CONTRE LES EFFETS SECONDAIRES INFLAMMATOIRES LIÉS À L’ARNm
Objectif :

Réduction de l’inflammation systémique
Protection contre l’oxydation cellulaire
Soutien à la régénération des tissus

PROTOCOLE 1 – PHASE DE NEUTRALISATION RAPIDE (7 JOURS MAXIMUM)

Approche choc en cas de réaction aiguë ou post-injection récente.

Substances clés :

DMSO pharmaceutique (pur à 99,9 %) :
1 à 2 ml dilués dans 20–30 ml d’eau distillée, une fois par jour (voie orale). Durée : 5 à 7 jours maximum.
Propriétés : stabilisateur membranaire, anti-inflammatoire, antioxydant.
Attention : usage sous supervision médicale obligatoire.

NAC (N-acétylcystéine) :
600 à 1200 mg par jour
Régénère le glutathion, détoxification intracellulaire.

Quercétine + Zinc :
Quercétine 500 mg + Zinc 15–30 mg
Antiviral indirect, immunomodulateur.

Vitamine C liposomale :
2 à 4 g par jour
Réduction du stress oxydatif.

Mesures complémentaires :
Hydratation abondante : 2 litres d’eau pure par jour
Activité physique légère (marche, étirement)
Jeûne intermittent léger (14 heures)

PROTOCOLE 2 - PHASE DE SOUTIEN PROLONGÉ APRÈS EXPOSITION RÉCENTE OU ANCIENNE (30 JOURS)

Approche progressive et continue après la phase aiguë.
Substances principales :

NAC : 600 mg × 2/jour

Quercétine : 500 mg × 2/jour

Zinc : 25–30 mg/jour

Vitamine D3 : 4000 UI/jour

Vitamine C liposomale : 1 g × 2/jour

Glutathion réduit : 500 mg/jour

Curcumine (standardisée 95 %) : 500 mg × 2/jour

DMSO local (usage externe ciblé sous avis médical)

Suppléments complémentaires (optionnels selon le patient) :

Resvératrol : 250 mg/jour

Mélatonine : 3 mg au coucher EFFETS SECONDAIRES POTENTIELS

Lors des premiers jours d’application de ce protocole, certains patients peuvent ressentir :

Légère fatigue
Maux de tête transitoires (effet de détoxification)
Douleurs articulaires temporaires (réaction inflammatoire résiduelle)
Augmentation passagère de la fréquence urinaire
Ces effets sont généralement le signe que le corps évacue des toxines et rééquilibre son métabolisme oxydatif.
Ils disparaissent spontanément en 48 à 72 heures.

EFFETS SPÉCIFIQUES DES PRINCIPAUX COMPOSANTS

DMSO : goût métallique temporaire, irritation gastrique possible, odeur sulfureuse type ail

Vitamine C : inconfort digestif à très fortes doses (rarement diarrhée)

NAC : nausées légères possibles en début de traitement

Curcumine : prudence en cas de traitement anticoagulant

Vitamine D3 : risque d’hypercalcémie


Source : Red sur X.


dimanche 27 avril 2025

Le Premier ministre slovaque interdit les achats gouvernementaux de «vaccins» Covid



«Les injections contiennent des substances non déclarées» : le Premier ministre slovaque interdit les achats gouvernementaux de «vaccins» Covid

«Les vaccins à ARNm contiennent des niveaux extrêmement élevés d'ADN et de substances qui n'ont pas été divulguées par le fabricant», a confirmé Robert Fico s’appuyant sur l’étude révélée par le député slovaque Peter Kotlar.

«Le virus a été créé artificiellement», avait-il conclu (vidéo). 

Kotlar avait également décrit la «pandémie» de Covid-19 comme un «acte de bioterrorisme» et une «opération fabriquée» et accusé Moderna et Pfizer de transformer les personnes vaccinées en «organismes génétiquement modifiés».




Note :

Selon RFK, Bill Gates a eu la prévoyance d'acheter plus d'un million d'actions de BioNTech avant l'apparition du COVID.

La même semaine, Bill Gates, qui supervisait la simulation [de l'événement 201], a acheté 1,1 million d'actions du vaccin BioNTech, devenu plus tard le vaccin Pfizer. Il a ensuite vendu la quasi-totalité de ces actions deux ans plus tard, réalisant un bénéfice de 242 millions de dollars. Une semaine plus tard, il a annoncé que le vaccin était inefficace. C'est ce qu'on appelle une opération de « pump-and-dump ».


L'invention des maladies




L'INVENTION DES MALADIES

par Peter Gotzsche 

Quelles maladies pourrait-on avoir sans le savoir ? Un journal danois a fait une enquête amusante. On a colligé des nouvelles sur une période de 3 mois, à propos de ce dont souffrent les Danois et on en vint à la conclusion, qu'en moyenne, chacun d'entre nous souffrons de deux maladies. En fait, c'est bien pire que cela parce que les journalistes ont recherché sous la rubrique "Les Danois souffrent de...", ce qui signifie que bien des maladies ont été ratées. Peut-être que le motif expliquant que, enquête après enquête, nous, Danois, qui semblons être les gens les plus heureux sur terre, est que nous ne savons pas à quel point nous sommes terriblement malades.

Les 300 000 personnes qu'on prétend souffrir de vessie hyperactive n'étaient pas sur la liste des 12 millions de maladies des Danois, de sorte qu'il faudrait ajouter ces 300 000. Il est bon de savoir qu'on peut réduire la souffrance humaine en ne demandant pas aux gens s'ils ont des ennuis pour uriner et en ne les traitant pas avec des médicaments peu connus.

En 2007, l'Association danoise de l'industrie pharmaceutique avait fait des représentations auprès des politiciens du Parlement et en avait convaincu certains que les bilans périodiques de santé seraient une bonne idée pour prévenir les maladies. Quand un journaliste demanda s'il ne s'agissait pas plutôt de vendre plus de médicaments, par exemple contre l'hypertension ou le cholestérol, le porte-parole de l'industrie reconnut que c'était bien le cas.

En 2011, notre nouveau gouvernement avait les évaluations régulières de la santé dans son programme mais je demandai à rencontrer la ministre de la Santé à qui j'ai dit que la révision Cochrane q'on venait de terminer et qui portait sur 16 études comptant près de 250 000 participants et près de 12 000 décès, n'avait trouvé aucun effet des évaluations périodiques de la santé sur la mortalité totale, la mortalité par cancer, ni la mortalité cardiovasculaire. Un de mes collègues lui parla d'une grand étude danoise qu'il venait d'achever dans laquelle on n'avait pas pu trouver un effet. Les bilans périodiques de santé donnent lieu à plus de diagnostics de maladies ou de facteurs de risques ce qui entraîne plus de consommation médicamenteuse et plus d'effets nocifs. Notre conclusion était en conséquence, très ferme : il ne faut pas faire de bilans périodiques de santé. La ministre agréa et dit que ce serait la première fois que le gouvernement ne tient pas une promesse pré-électorale d'une manière fondée sur la preuve. Notre révision épargnera des milliards aux contribuables et un tas de souffrances.

Voici un exemple d'effet malheureux qu'un bilan apparemment inoffensif de santé peut infliger. Un écrivain très prolifique perdit brusquement tout intérêt pour sa vie mouvementée. Les jours étaient interminables et difficiles à un point tel qu'il songea au suicide comme seule porte de sortie. Il était convaincu d'être de venu vieux et de n'avoir plus la force. Après un mois, il lui apparut soudainement qu'il pourrait s'agir des médicaments. Ces pilules étaient des bêta-bloqueurs et ses médecins avaient oublié de lui dire qu'ils pouvaient provoquer de la dépression. Il cessa de les prendre et se rétablit.

Cette histoire ne commence pas par un bilan périodique de santé mais elle aurait pu. Très souvent, les patients ne sont pas alertés au fait que la détérioration de leur condition puisse être provoquée par les médicaments qu'ils consomment. Il est malencontreux que leurs médecins puissent ne pas reconnaître que les nouveaux symptômes soient des effets secondaires d'un premier médicament et qu'ils en prescrivent un second pour traiter ces symptômes et ainsi de suite.

L'industrie pharmaceutique et les médecins à sa solde ne fichent même pas la paix aux jeunes et robustes personnes. En appliquant les consignes de pratique européennes sur la maladie cardiovasculaire à une population norvégienne, des chercheurs ont trouvé que 86 % des hommes se trouvaient à risque élevé de maladie cardiovasculaire à l'âge de 40 ans. L'ironie est que les Norvégiens jouissent d'une des longévités les meilleures du monde. Dans une autre étude, les chercheurs ont trouvé que 50 % des Norvégiens avaient un cholestérol ou une tension sanguine excédant le niveau à partir duquel on traite, dès l'âge de 24 ans !

Il en va de même pour l'ostéoporose. En 1994, un petit groupe d'étude associé à l'OMS a défini la densité osseuse normale comme celle de jeunes femmes adultes. C'était passablement utopique puisqu'en vieillissant, pratiquement toute se détériore. On ne peut tous être qu'hors limites de la normale, quand on se compare à des jeunes femmes. De manière complètement arbitraire, le groupe avait définit que l'ostéoporose était présente quand la densité minérale osseuse se trouvait à 2,5 écarts-types en dessous de celle d'une jeune femme, et ne s'arrêta même pas là en définissant l'ostéopénie comme présente quand la mesure se situait entre 1,0 et 2,5 écarts-types en dessous. Ces critères étaient conçus pour la recherche épidémiologique mais constituaient une mine d'or pour l'industrie pharmaceutique puisqu'ils rendaient « anormales », la moitié des femmes plus âgées. L'industrie pharmaceutique commanditait la rencontre où l'on a créé ces définitions, ce qui peut avoir eu de l'influence.

Un test de la densité minérale de l'os ne peut prédire que le sixième des fractures de la hanche, mais en dépit de ces observations qui donnent à réfléchir, le test est devenu la règle d'or pour décider qui il convient de traiter. Les sites de consommateurs sur Internet sont habituellement commandités par l'industrie et prétendent que le test est bon et prédit le risque de fracture alors que les organismes d'évaluation de la technologie en santé disent le contraire. L'effet des médicaments est faible même pour les femmes à risque élevé de fractures. Quand 100 femmes ayant déjà souffert d'une fracture vertébrale sont traitées, une fracture de la hanche est peut-être prévenue. Je dis peut-être parce plusieurs études suggèrent que le traitement à long terme produit l'effet contraire, une augmentation des fractures de la hanche qu'on peut expliquer par le fait que le nouvel os suscité par les médicaments n'est pas du même type que celui qui se constitue naturellement.

De plus, les gens à qui l'on dit qu'ils ont les os fragiles peuvent cesser de faire de l'exercice, ce qui est une mauvaise idée, puisque l'exercice renforce les os. Une femme que je connais qui était parfaitement bien portante a subi un examen au scanner des os pour aucun motif justifiable et on lui a dit quelle avait des os cassants. Elle était passionnée des sports quelle pratiquait, mais les arrêta sur-le-champ, redoutant de tomber et de s'infliger une fracture. Ainsi, le diagnostic a commencé à lui empoisonner l'existence et à augmenter son risque, puisque l'exercice prévient les fractures. C'est de la mauvaise médecine que de pratiquer du dépistage sur des bien-portants sans savoir à partir d'études randomisées si le dépistage fait plus de tort que de bien. Ce qui n'est pas le cas pour l'ostéoporose ; il n'y a pas d'études du dépistage. Je ne dis pas que personne ne devrait être traité ; je dis simplement qu'il y a beaucoup trop de gens qu'on traite. L'industrie pharmaceutique doit être immensément reconnaissante pour l'aide du groupe de l'OMS, puisque l'industrie vend aussi ses médicaments pour l'ostéopénie, qui constitue un marché de près de 400 millions de femmes.

La folie de l'ostéoporose-ostéopénie a fait l'objet de plusieurs plaisanteries. Devrait-on aussi traiter ceux qui sont à risque d'être à risque (ceux qui ont de l'ostéopénie qui pourraient franchir la frontière arbitraire vers l'ostéoporose quand ils vieillissent) ? Quand un collègue quitta son domicile pour des vacances de ski, il me dit qu'il souffrait maintenant d'une pré-fracture.

Selon une autre plaisanterie qu'on prend malheureusement au sérieux, les gens organisent des conférences sur la préhypertension, laquelle commence quand la pression diastolique dépasse 80 mm Hg. Une source de tragédie : l'American Heart Association recommande de dépister les enfants pour hypertension, à compter de 1'âge de trois ans. Nous avons montré dans notre révision des évaluations de la santé que le dépistage de l'hypertension (à n'importe quel âge) ne sert à rien.

Parlons maintenant du prédiabète. On a effectué des études pour démontrer qu'en traitant les bien-portants avec un médicament réduisant le glucose, on peut réduire leur risque de diabète. Une sinistre plaisanterie. Puisque le diagnostic dépend du niveau du glucose sanguin, il n'était pas nécessaire de faire des études, le résultat étant connu d'avance, une sorte de preuve circulaire. En conséquence, une fois que le traitement est arrêté, il n'y a pas de différence sur l'incidence du diabète, donc le médicament ne prévient rien. Toute cette entreprise n'était qu'une opération de gonflement des ventes de médicaments comme la rosiglitazone, qu'on a étudiée dans des études comme DREAM. Le rêve se transforma en cauchemar puisque le médicament tue les gens. Un autre problème à résoudre : comment trouver les bien-portants et commencer le traitement ? On ne peut faire cela sans dépistage et nous avons démontré dans notre révision des évaluations de santé que le dé pistage du diabète ne fonctionne pas. Il ne réduit ni la morbidité ni la mortalité.

Il est semble-t-il facile de séduire des bien-portants et les persuader de prendre des médicaments dont ils n'ont pas besoin pour traiter une maladie qu'ils n'ont pas. 

Peter Gotzsche auteur du livre :

"Remèdes mortels et crime organisé - Comment l’industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé"

Les médicaments d'ordonnance sont la troisième cause de mortalité après les maladies cardiaques et les cancers. Dans cet ouvrage révolutionnaire, Peter C. Gotzsche lève le voile sur les comportements frauduleux de l'industrie pharmaceutique dans les domaines de la recherche et de la commercialisation et sur son mépris moralement répugnant pour la vie humaine. L'auteur établit des rapprochements convaincants entre l'industrie pharmaceutique et l'industrie du tabac et révèle l'extraordinaire vérité derrière les efforts déployés pour semer la confusion et détourner l'attention du public et des politiciens.

PDF gratuit ICI.

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Les origines de Big Pharma





jeudi 19 décembre 2024

Ana Maria Mihalcea : Comment se débarrasser des nano robots

Dr Ana Maria Mihalcea, une voix pour l'avenir de la santé et la survie de l'espèce humaine. 

Problèmes liés à la pandémie de Covid-19, nanotechnologie et biologie synthétique dans les injections C19.

Ana Maria a découvert comment se débarrasser des nano robots chez les injectés et non injectés.



dimanche 8 décembre 2024

COVID-19: révélations troublantes





Par Nathalie Elgrably


«Le mensonge donne des fleurs, mais ne donne jamais de fruits.»

Cette maxime prend tout son sens à la lumière d’un rapport explosif de 520 pages sur la pandémie de COVID-19 rendu public mercredi par un sous-comité spécial du Congrès américain dirigé par des élus républicains, mais auquel participaient également des démocrates.
Vérité

Après deux ans d’enquête, ce que certains voulaient taire ou maquiller a finalement éclaté au grand jour. Le rapport nous apprend entre autres que:

- Le virus a probablement été le résultat d’un accident de laboratoire à Wuhan dans le cadre de recherches sur le gain de fonction financées par l’État américain.

- Les gouvernements américains et chinois, le Dr Fauci et des membres de la communauté scientifique ont tenté de cacher ces faits.

- L’obligation vaccinale a causé d’importants dommages collatéraux.

- La recommandation des «6 pieds» de distanciation sociale ne reposait sur aucune base scientifique.

- Aucune preuve scientifique n’a permis de démontrer que les masques avaient été efficaces pour contrôler la propagation du virus.

- L’OMS a relayé la propagande du gouvernement chinois.

- Les confinements ont causé plus de tort que de bien en nuisant à l’économie, en causant des troubles de santé mentale chez les adultes, et en perturbant le développement des enfants et des jeunes adultes.

- Le gouvernement a mésinformé ses citoyens, notamment en qualifiant la théorie de la fuite de laboratoire de «théorie du complot».

- Le pouvoir du vaccin a été exagéré.

- Le vaccin a entraîné chez certains des effets indésirables qui doivent faire l’objet d’une enquête approfondie.

«Complotistes»

Encore récemment, ceux qui tenaient de pareils propos étaient dénigrés, ostracisés et qualifiés de «complotistes». Or, ce rapport nous apprend qu’ils voyaient clair à bien des égards... Mais ne comptons pas sur leurs accusateurs pour leur présenter des excuses!

Chose certaine, la confiance entre les institutions et les citoyens a été brisée.

Or, comme l’indique très justement le rapport, «la confiance se mérite. La responsabilité, la transparence, l’honnêteté et l’intégrité permettront de regagner cette confiance».
À bon entendeur, salut!




vendredi 6 décembre 2024

Mascarade Covid : Le rapport le plus dévastateur à ce jour




La Chambre des représentants du Congrès des États-Unis a publié un rapport sur la « Campagne de santé publique COVID-19 » du Département américain des services de santé et des services sociaux (HHS).

Voici un aperçu du document réalisé par le docteur Jayanta Bhattacharya (épidémiologiste et professeur à la Stanford Medical School), publié par l'Institut Brownstone :

https://d1dth6e84htgma.cloudfront.net/We_Can_Do_This_NIH_PR_Campaign_Report_PUBLIC_82616d81eb.pdf

Le rapport de la Chambre des représentants sur la propagande COVID menée par le Département américain de la santé publique (HHS) est dévastateur.

Le gouvernement Biden a dépensé près d'un milliard de dollars pour mentir au peuple américain avec de fausses informations sur les « vaccins anti-COVID », les « rappels » et les masques.

Si une entreprise de Big Pharma avait mené cette propagande, les amendes auraient été si élevées qu'elle aurait fait faillite.

Le HHS a engagé une agence de relations publiques (PR), à savoir Fors Marsh Group (FMG), pour cette campagne. L'objectif principal de la campagne était d'augmenter l'absorption des vaccins sur le marché.

La stratégie était la suivante :

1. Exagérer le risque de mortalité lié au COVID ;

2. Minimiser le fait qu'il n'existait pas de preuves sérieuses que le vaccin anti-COVID empêche la transmission.

« Selon un rapport examiné par la Commission, FMG a dépensé en moyenne 20 millions de dollars par mois pour la conception et l'exécution de la Campagne.

« Dans ses propositions concernant l'ordre des missions, l'entreprise affirmait que l'ASPA pourrait bénéficier de l'utilisation d'un mélange de médias payants et de médias captés, avec des partenariats radio exclusifs, des messages adaptés sur la base de recherches et le renforcement des messages par leur reprise par des influenceurs, des célébrités et des sportifs de confiance.

« Les stratégies de la Campagne FMG étaient basées sur plusieurs théories sur le changement de comportement et la communication, « l'attente étant que l'exposition aux messages de la Campagne produise un changement dans la cognition des individus avant le changement de comportement visé par la Campagne ».

« Le modèle de croyances liées à la santé utilisé par la Campagne soutient que « la croyance d'une personne en la menace d'une maladie, ainsi que la croyance de la personne en l'efficacité du comportement ou de l'action curative recommandée, préfigurent la probabilité que cette personne adopte ce comportement ».

La campagne de propagande s'est étendue au-delà de la consommation de vaccins, en incluant l'exagération de l'efficacité des masques et la promotion de la distanciation sociale et de la fermeture des écoles.

En fin de compte, en raison du fait que les messages ne correspondaient pas à la réalité, la campagne a détruit la confiance du public dans les services de santé publique. 

« Au cours de son existence, la Campagne est devenue un véhicule essentiel pour la diffusion des messages de l'administration Biden-Harris concernant les masques, la distanciation sociale, l'efficacité des vaccins, les risques posés par le COVID-19 pour les enfants, ainsi que les conditions de réouverture des écoles, des entreprises et de la société civile.

« Étant donné que la Commission a des compétences en matière de santé publique, il est important pour la Commission – et pour les entités de santé publique fédérales – de comprendre pourquoi la Campagne a conduit à une perte de confiance dans le HHS et ses agences, ainsi que de discuter des réformes nécessaires pour éviter la répétition d'un tel échec lors de futures urgences de santé publique.

« Ce rapport est un examen chronologique des publicités, des publications de blogs et d'autres matériels de relations publiques produits pour la Campagne « We Can Do This » [Nous pouvons le faire !] et met en parallèle les activités de la Campagne avec des événements majeurs de la réponse de l'administration Biden-Harris à la pandémie. »

L'agence de relations publiques FMG a principalement utilisé des données « scientifiques » fausses provenant des « directives » des CDC (Centers for Disease Control and Prevention), qui ignoraient non seulement les découvertes de la FDA (Federal Drug Administration) concernant les limitations des vaccins, mais aussi les découvertes scientifiques provenant d'autres pays qui contredisaient la pensée de groupe des CDC. « Une grande partie du contenu scientifique qui était directement inclus ou auquel il était fait allusion dans les publicités de la Campagne et dans d'autres matériaux promotionnels a été tirée des recommandations, des directives et des recherches des CDC, dont certaines parties cruciales se sont révélées profondément erronées.

« Le fait que les CDC n’aient pas mis à jour, par erreur ou non, ces recommandations et directives en fonction des résultats de la recherche se reflète dans les matériaux publicitaires et promotionnels de la Campagne « We Can Do This » :

La directive des CDC sur laquelle la Campagne s’est basée allait au-delà des conditions de l’Autorisation de Utilisation d’Urgence (EUA) émise par la FDA pour les États, affirmant, sans preuves, que les vaccins COVID étaient extrêmement efficaces contre la transmission de la maladie. En fin de compte, lorsque cela s’est avéré faux, cela a eu un impact négatif sur la confiance dans le vaccin et sur la crédibilité des CDC.

Les CDC ont émis des messages incohérents et erronés concernant l’efficacité des masques.

Les CDC ont continuellement exagéré le risque du COVID-19 pour les enfants.

Les CDC continuent aujourd'hui de recommander des vaccins COVID à tous les Américains à partir de 6 mois, ce qui différencie les États-Unis de tous les autres pays, à l’échelle mondiale, en matière de politique COVID-19. »

Le rapport détaille les positions contradictoires adoptées par les CDC sur le sujet des masques au fil des années. Ce qui est le plus frustrant, c’est de se rappeler de l’obsession des CDC – étrange, anti-scientifique et inhumaine – de faire porter des masques en tissu aux enfants jusqu'en 2022.

« Les CDC n’ont modifié leur politique sur les masques qu’en 2022, reconnaissant, enfin pour la première fois en deux ans, que les masques et autres protections en tissu pour le visage "n'offrent pas la même protection que les masques chirurgicaux ou les respirateurs".

« À ce moment-là, environ la moitié des 53 millions d'enfants du pays étaient toujours contraints de porter un masque.

« De nombreux États ont fidèlement suivi les directives des CDC et ont imposé des masques à tous les élèves, quelle que soit leur âge et même leur statut vaccinal.

« Certaines localités ont même dépassé les recommandations des CDC en obligeant les enfants à porter des masques à l'extérieur, pendant les pauses.

« La plupart des masques portés par les enfants étaient en tissu, ce que les CDC ont reconnu comme n'offrant pas une protection significative contre la propagation du virus.

« En raison de la modification des directives des CDC, en janvier 2022, certains districts ont modifié leurs politiques en remplaçant les masques en tissu par des masques médicaux KN95 dans les écoles. »

Le conseiller du président Biden sur les questions de COVID, Ashish K. Jha, a attendu jusqu'en décembre 2022 (juste après avoir quitté son poste gouvernemental) pour dire au pays qu'« il n'y a aucune étude dans le monde qui prouve que les masques fonctionnent aussi bien ». Pourquoi a-t-il fallu autant de temps ?

« En décembre 2022, après avoir quitté la Maison Blanche de Biden, l'ancien coordinateur COVID-19, Ashish Jha, a volontairement admis ce que beaucoup disaient depuis le début : « il n'y a aucune étude dans le monde qui prouve que les masques fonctionnent aussi bien ». »

En 2021, l'ancienne directrice des CDC, Rochelle Walensky, a réécrit les directives des CDC sur la distanciation sociale à la demande du syndicat national des enseignants, garantissant que les écoles resteraient fermées pour des cours en personne pendant encore de nombreux mois.

« Le 18 février 2021, les CDC ont publié des directives pour la réouverture des écoles, qui, si elles avaient été mises en œuvre, auraient empêché « plus de 90 % des écoles aux États-Unis, y compris presque tous les 50 plus grands comtés du pays, de rouvrir complètement ».

« Les médecins qui ont étudié les directives ont exprimé leur exaspération face au fait que les nouvelles recommandations des CDC continuaient à maintenir les écoles fermées pendant des mois, même après qu'elles auraient pu être, de manière réaliste, rouvertes.

« Les demandes formulées en vertu de la loi sur la liberté d'accès à l'information (Freedom of Information Act, FOIA) et les enquêtes parlementaires ont ensuite révélé que les directives des CDC concernant la réouverture des écoles avaient été rédigées sous l'influence de la présidente de la Fédération américaine des enseignants (AFT), Randi Weingarten.

Weingarten avait eu accès directement à l'ancienne directrice des CDC, Rochelle Walensky.

« Grâce à ce canal de communication souterrain avec les CDC, l'AFT a pu apporter des modifications directes aux directives, prolongeant ainsi la fermeture des écoles. »

Pendant ce temps, l'agence de relations publiques FMG a publié des annonces disant aux parents que les écoles fermeraient à nouveau si les enfants ne portaient pas de masques, ne respectaient pas la distanciation sociale avec leurs amis et ne se faisaient pas vacciner contre le COVID.

« Malgré toutes les preuves du contraire, les messages de la Campagne « We Can Do This » ont constamment souligné la possibilité de fermer à nouveau les écoles si les parents ne forçaient pas leurs enfants à porter des masques, à se distancier socialement de leurs amis et à être à jour avec tous les vaccins COVID-19.

« La Campagne et les CDC ont insisté sur ces messages même après qu'il est devenu évident que les écoles n'étaient pas des foyers de surcontagion et que les enfants ne couraient pas un risque accru de maladie grave ou de mort due au COVID-19. » 

En mars 2021, au même moment où les CDC annonçaient aux Américains que les personnes vaccinées n'avaient pas besoin de porter de masques, l'agence de relations publiques continuait de publier des annonces affirmant que les masques étaient toujours nécessaires, même pour les vaccinés. « Ce n'est pas le moment de relâcher nos efforts » – nous disait-on, en l'absence de toute preuve que les masques apportaient une quelconque aide.

« 18 mars 2021 : Around Here (Message Radio - Audio) 

(Script) Ma famille vit dans cette ville depuis six générations, il est donc naturel pour nous de prendre soin de nos voisins. Lorsque le COVID a frappé, nous avons fait tout ce qu'il fallait pour nous protéger les uns les autres. »

« Maintenant que les vaccins sont arrivés, certains relâchent leur vigilance, mais c'est une grande erreur. Cela est dû aux nouvelles formes de virus qui se propagent très rapidement.

« Vous voulez savoir comment nous luttons contre elles ? Faites ce que vous avez fait jusqu'à présent. Avez-vous un masque qui s'ajuste bien et qui est bien serré ? Parfait. Restez à au moins six pieds de vos voisins, évitez les foules et ne pénétrez pas chez les autres. Tout cela est très bon et plus important que jamais. Regardez, je vais certainement me faire vacciner quand ce sera mon tour, mais ce n'est pas le moment de baisser la garde ou de retirer le masque. »

« En 2021, pour soutenir l'offensive Biden-Harris pour l'obligation vaccinale, l'agence de relations publiques a fortement promu l'idée fausse que le vaccin stoppe la transmission du COVID. Lorsque les gens ont commencé à être infectés même après avoir été vaccinés, la confiance du public dans le système de santé publique s'est effondrée.

« Même en présence de désaccords entre la directrice des CDC, Walensky, et les scientifiques des CDC, entre mars 2021 et au plus tôt janvier 2022, lorsque l'obligation vaccinale est entrée en vigueur, la Campagne « We Can Do This » a souvent adopté le message de la directrice Walensky selon lequel les vaccins COVID empêchent la transmission.

« Au printemps, les messages de la Campagne, sponsorisés par le HHS et les CDC, reposaient en grande partie sur l'hypothèse erronée que les vaccins COVID-19 réduisent la transmissibilité.

« L'administration Biden-Harris, le HHS et les CDC ont pratiquement mis en péril leur crédibilité auprès du peuple américain sur la question des vaccins COVID-19 en partant du principe que les personnes vaccinées ne pouvaient pas transmettre le COVID-19 à d'autres.

« Cela s'est avéré être une erreur fatale quelques mois plus tard, lorsque des cas d'individus vaccinés contractant le COVID-19 ont commencé à être rapportés partout. »

Plus tard, lorsque la FDA a approuvé le vaccin pour les enfants âgés de 12 à 15 ans, l'agence de relations publiques a dit aux parents que les écoles pourraient rouvrir à l'automne 2021, mais seulement si leurs enfants étaient vaccinés. Ces annonces n'ont jamais mentionné les effets secondaires du vaccin, tels que la myocardite.

« Le 10 mai 2021, la FDA a élargi son autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) pour le vaccin COVID-19 Pfizer-BioNTech aux adolescents âgés de 12 à 15 ans. « Deux jours plus tard, le 12 mai, le Comité consultatif sur les pratiques d'immunisation (ACIP) a émis une recommandation provisoire pour la vaccination des enfants âgés de 12 à 15 ans. »

« La prémisse centrale des messages de la Campagne concernant la nécessité de vacciner les enfants âgés de 12 à 15 ans était que la vaccination était la clé pour rouvrir les écoles pour des cours normaux cet automne.

« L'insistance des CDC selon laquelle les écoles ne pouvaient être ouvertes en toute sécurité que si les élèves étaient vaccinés (la grande majorité étant en réalité hors de danger de contracter une forme grave de COVID-19) suggère que le gouvernement Biden-Harris mettait en œuvre des politiques dictées par ses alliés politiques dans les syndicats des enseignants, plutôt que par les preuves scientifiques disponibles à ce moment-là. »

Le HHS a supprimé de son propre site les annonces de propagande de cette période. Il est facile de comprendre pourquoi. Elles sont embarrassantes. Elles disaient aux enfants de considérer les autres enfants comme des risques biologiques s'ils n'étaient pas vaccinés.

« La campagne du HHS, financée par l'argent des contribuables, a utilisé des annonces émotionnellement manipulatrices pour faire croire aux gens que la seule façon de revoir leurs amis, de sortir, de se rendre à des rencontres, à des fêtes ou en vacances, ou de passer la nuit chez quelqu'un, était la vaccination.

« À l'été 2024, les matériaux de la Campagne HHS sur YouTube ont été rendus privés et ne sont plus accessibles au public.

16 juin 2021 : 

Oui (Message vidéo)

« Dis oui. Dis oui à la rencontre avec des amis. Dis oui à sortir. Dis oui aux vacances. Dis oui à passer la nuit quelque part. Après un an à dire non, imagine à quel point tu te sentiras bien en disant oui. Toute personne âgée d'au moins 12 ans est maintenant éligible pour les vaccins COVID. »


« Lorsque la variante Delta est apparue, l'agence de relations publiques a intensifié massivement la campagne de peur, de masques et de distanciation sociale.


« 19 juillet 2021 : Deux annonces radio ciblées vers les parents amérindiens :

Mets-en deux, maman (Audio) 

(Script)

« Ma mère est intéressante ; elle va à l'épicerie et achète toujours deux morceaux de quelque chose. Je lui demande : « Quel est le problème ? ». Et elle me dit qu'il n'y a rien de pire que de préparer le dîner pour la famille et de réaliser que tu n'as pas assez. Elle a dit qu'elle préfère en prendre deux et en avoir trop, pour être sûre. Je comprends. « Je fais maintenant la même chose avec la pandémie. Je sais que beaucoup de gens se font vacciner, mais de nouvelles formes de virus sont apparues et je ne veux pas prendre de risques. Je porte un masque bien ajusté, je reste à 6 pieds de distance et j'évite les foules – c'est ma manière de doubler la sécurité contre le virus. Nous devons continuer à protéger nos gens et nos communautés tribales.

« Aidez à prévenir la propagation des nouvelles souches du virus en continuant à porter un masque bien ajusté sur votre visage, en restant à 6 pieds des autres et, lorsque votre tour viendra, en vous faisant vacciner.

Mets-en deux, papa. (Message Audio) 

(Script)

« J'étais avec mon fils en route vers le magasin, quand il m'a demandé pourquoi je prenais toujours un sac de cacahuètes et une bouteille d'eau en plus. Eh bien, pour la sécurité, lui ai-je dit. Tu prends deux, pour être couvert plus tard.

« Ensuite, il m'a demandé pourquoi je continuais à éviter les endroits bondés et à porter un masque, alors que je me suis déjà fait vacciner. Je lui ai dit :

« Fils, c'est l'effet de doubler la sécurité ». Cela signifie faire sa part de ce qui doit être fait pour que nous soyons protégés. Il y a de nouvelles formes de virus, donc nous devons doubler la sécurité pour les vaincre. »

En septembre 2021, la directrice des CDC, Walensky, a rejeté la recommandation d'experts externes selon laquelle les doses supplémentaires (boosters) ne devraient être administrées qu'aux personnes âgées, et non à tous les adultes. L'action de la directrice a été « extrêmement inhabituelle » et a dépassé les limites des recommandations de la FDA, qui prévoyaient des suppléments uniquement pour les personnes âgées.

« Le 22 septembre 2021, neuf jours après la publication de l'article dans le Lancet, la FDA a modifié l'autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) pour le vaccin Pfizer afin de permettre l'administration d'une seule dose de rappel au moins six mois après la vaccination complète chez les personnes âgées, les personnes à risque individuel de COVID-19 sévère, ainsi que chez les personnes âgées de 18 à 64 ans ayant complété leur série initiale mais qui, en raison d'une exposition institutionnelle ou professionnelle, supportent un risque élevé de complications graves liées au COVID-19. « Le lendemain, l'ACIP a approuvé l'utilisation d'une seule dose de rappel Pfizer chez les personnes âgées et les personnes à risque élevé d'infection sévère par le COVID-19. Cependant, l'ACIP a voté contre la recommandation de doses de rappel pour les individus âgés de 18 à 64 ans ayant complété leur série primaire de vaccins et pouvant être exposés au COVID-19 dans leurs environnements institutionnels ou professionnels.

« La directrice Walensky des CDC a approuvé les recommandations de l'ACIP concernant l'utilisation des doses de rappel chez les personnes âgées. Cependant, dans un geste extrêmement inhabituel, la directrice Walensky a rejeté la demande de l'ACIP, adoptant sa propre recommandation concernant l'administration de doses supplémentaires aux individus en bonne santé exposés institutionnellement ou professionnellement à l'infection par le COVID-19.

« La décision de Walensky de s'opposer aux experts de sa propre agence a surpris non seulement les membres de l'ACIP, mais aussi les membres de son équipe et d'autres experts.

« Un membre de l'ACIP qui a voté contre la recommandation concernant les doses de rappel pour les jeunes individus à risque professionnel a déclaré que « la commission a été entraînée dans une situation émotionnelle, alors qu'elle devait se concentrer sur la science », et que la science ne soutenait pas l'utilisation de doses de rappel chez les jeunes individus. »

La campagne de relations publiques et les CDC ont constamment exagéré le risque de mortalité lié à l'infection par le COVID chez les enfants pour effrayer les parents et les inciter à vacciner leurs enfants.

« Les CDC et la Campagne ont systématiquement exagéré le risque posé par le COVID-19 aux enfants, supposément dans le but de les effrayer et de les inciter à vacciner leurs enfants. Ils ont poursuivi ces messages malgré les preuves scientifiques de plus en plus claires que le virus représentait un risque minimal pour les enfants.

« En mars 2022, les CDC ont admis avoir exagéré le nombre de décès dus au COVID-19. Cette surestimation était liée à un défaut dans l'algorithme de la base de données des CDC concernant le suivi des décès liés au COVID. La surestimation s'appliquait aux décès de tous les groupes d'âge, y compris les enfants.

« Après recompte, le nombre de décès pédiatriques a diminué de 24 %. »

« En même temps, les données de l'Académie américaine de pédiatrie ont montré que le nombre de décès pédiatriques représentait 0,26 % du total des décès dus au COVID-19. « Une analyse indépendante a trouvé 25 cas de rapports statistiques et d'erreurs numériques dans les données des CDC concernant le COVID-19. Quatre-vingts pour cent de ces erreurs exagéraient la gravité de la situation liée au COVID-19. »

En août 2021, l'armée a imposé la vaccination contre le COVID au personnel, ce qui a entraîné le départ de 8 300 soldats.

À partir de 2023, le Département de la Défense a tenté de convaincre ceux qui avaient été licenciés de revenir en service. Quels dommages l'obligation de vaccination a-t-elle causés au système de sécurité nationale ?

« Le 25 août 2021, le secrétaire à la Défense, Lloyd Austin, a émis un ordre rendant la vaccination obligatoire pour les membres des forces armées. L'ordre exigeait également que tout recrue soit complètement vacciné, y compris avec les doses de rappel. L'obligation a eu pour effet de faire quitter le service militaire à 8 300 personnes qui ont refusé la vaccination.

« L'obligation a continué jusqu'au 23 décembre 2022, lorsqu'elle a été annulée par la Loi d'autorisation de la Défense nationale pour l'exercice fiscal 2023, à l'insistance des républicains au Congrès. Depuis l'annulation, le Département de la Défense a fait des efforts répétés pour ramener les vétérans non vaccinés dans les rangs des forces armées. »

Le gouvernement Biden/Harris a imposé la vaccination à l'OSHA (Occupational Safety and Health Administration), aux CMS (Centers for Medicare & Medicaid Services) et aux forces militaires, même si les CDC savaient que le vaccin ne conférait pas d'immunité contre la variante Delta.

« La campagne de relations publiques a soigneusement évité d'informer les Américains que l'efficacité des vaccins diminuait face à ces variantes.

« L'obligation vaccinale imposée par le gouvernement Biden/Harris était une politique viciée qui a sapé la confiance dans les services de santé publique.

Cette obligation était impopulaire et a alimenté encore plus le scepticisme envers le vaccin, surtout dans un contexte où le public américain montrait déjà des signes de fatigue face à la pandémie.

« Pour aggraver les choses, les ordres de vaccination contre le COVID-19 reposaient sur des présomptions erronées ou dépassées concernant la pandémie de COVID-19. »

« Par exemple, au moment où l'obligation vaccinale a été imposée, la variante Delta était déjà la souche prédominante en circulation. Les trois vaccins COVID-19 avaient été testés sur des variantes antérieures, circulant en mars 2021.

« Les vaccins étaient beaucoup moins efficaces pour prévenir l'infection par la variante Delta. Le risque de l'émergence d'une nouvelle variante capable d'échapper à l'immunité acquise par la vaccination était compris aux CDC et par d'autres experts médicaux, mais cela n'a pas été correctement communiqué au public américain. »

La campagne de propagande a engagé des célébrités et des influenceurs pour « convaincre » les enfants de se faire vacciner contre le COVID.

« Je considère qu'une personne célèbre qui reçoit de l'argent pour promouvoir un produit défectueux est en partie responsable du mal que ce produit cause aux gens. « En plus de fournir des informations sur les endroits où les enfants pouvaient se faire vacciner contre le COVID-19 à travers le pays, les blogs et vlogs ont tenté de convaincre les parents et les adolescents avec des arguments émotionnels, en utilisant des statistiques trompeuses, des histoires anecdotiques sur des tragédies personnelles et même des incitations financières.

« Il convient de noter que la campagne a dépensé l'argent des contribuables pour engager des célébrités et des influenceurs sur les réseaux sociaux, sachant très bien, sur la base d'études internes, que seulement 8 % des adultes recherchaient des informations sur le COVID-19 auprès de célébrités ou d'influenceurs sur les réseaux sociaux chaque mois.

« Alors qu'elle promouvait du contenu encourageant les enfants éligibles âgés de plus de 5 ans à se faire vacciner, la campagne a commencé à préparer les parents à la vaccination des enfants de moins de 5 ans, annonçant que la FDA allait également délivrer une autorisation pour cela.

« En plus des influenceurs travaillant avec les parents à l'échelle locale, la campagne a recruté des mamans célèbres, comme America Ferrera et Kelly Rowland, pour aider à promouvoir la vaccination des jeunes enfants, âgés de 2 à 4 ans, pour lesquels les risques de maladie ou de décès dus au COVID-19 étaient négligeables. »

« Dans chaque cas, l'influenceur a été sélectionné pour un segment démographique spécifique (par exemple, Afro-Américains, Latino-Américains, Américains d'origine asiatique, autochtones d'Hawaï ou des îles du Pacifique). À un moment où les Américains cherchaient des assurances, des informations de qualité et une rigueur scientifique, les CDC et le HHS, par le biais de la campagne, ont choisi d'engager des porte-parole d'Hollywood pour perpétuer l'influence d'une campagne déconnectée des faits. »

En l'absence de preuves, la campagne de propagande a diffusé des annonces affirmant que le vaccin protégerait les enfants contre le « Long COVID ».

« 22 août 2022 : Demandez à un médecin : Le vaccin protègera-t-il mon enfant contre le COVID ?

Assurez-vous de la sécurité de votre enfant ; les vaccins et les doses de rappel le protègent des symptômes de COVID qui peuvent durer des semaines, voire des mois après l'infection. Cela s'appelle parfois le Long COVID. Après avoir contracté le COVID, les enfants et les adolescents peuvent traverser une large gamme de problèmes de santé qui peuvent affecter leur qualité de vie, tels qu'une fatigue extrême ou des difficultés à penser et à se concentrer. »

Avec l'effondrement de la confiance publique dans les CDC, les parents ont commencé à remettre en question les conseils des CDC. Comme il était à prévoir, la campagne de propagande du HHS a conduit à une diminution du nombre d'enfants recevant les vaccins de routine de l'enfance.

« En décembre 2022, une interview, réalisée précédemment avec une ancienne directrice des NIH, Francis Collins, a été rendue publique, dans laquelle elle « admettait que, pendant la pandémie de COVID-19, elle avait eu une vision très étroite, très malheureuse, qui a empêché elle et d'autres responsables de la santé publique d'analyser les pertes collatérales potentielles causées par leurs décisions ». »

« La poursuite par les CDC de la recommandation d'injection de doses de rappel pour les enfants âgés de 6 mois suggère que l'agence n'a pas dévié de ses politiques et n'a pas tiré de leçons de son propre manque de perspective.

« Les experts en santé publique avertissent qu'avec ces recommandations, les CDC subiront des effets à long terme sur leur crédibilité. L'insistance des CDC sur un vaccin aux effets marginaux a malheureusement amené le public à douter d'autres recommandations de cette institution, telles que la nécessité de vacciner régulièrement les jeunes enfants contre la rougeole ou avec d'autres vaccins vitaux, y compris MMR, DTaP, polio et varicelle, le nombre d'enfants vaccinés avec ces produits étant aujourd'hui plus faible qu'avant la pandémie.

« Parallèlement, le nombre d'enfants d'âge préscolaire demandant une exemption pour un ou plusieurs vaccins a augmenté par rapport à la période précédant la pandémie, atteignant des niveaux record. »

Le rapport formule plusieurs recommandations, y compris la définition de la mission principale des CDC comme étant la prévention ; l'obligation pour le HHS de limiter sa propagande aux règles régissant l'étiquetage des produits autorisés par la FDA et le rétablissement vigoureux du processus d'évaluation de la sécurité des vaccins.

- « Le Congrès devrait envisager d'autoriser formellement les CDC et de définir clairement la mission principale de cette agence.

- « Le HHS et ses agences doivent respecter les réglementations d'étiquetage des produits médicaux de la FDA. Le HHS et ses agences doivent être interdits de promouvoir des informations sur un produit régulé par la FDA qui ne reflète pas l'étiquette fournie par la FDA.

- « Le Congrès devrait envisager de clarifier les responsabilités en matière d'évaluation de la sécurité des vaccins et l'accessibilité des systèmes de rapport actuels, afin d'enregistrer les cas de maladies et les effets indésirables causés par les vaccins.

- « Le HHS et ses agences devraient adopter une culture de transparence et de responsabilité.

- « Le HHS et les responsables de la santé publique ne doivent pas essayer de réduire au silence les opinions scientifiques dissidentes.

- « Le HHS et ses agences devraient revoir leur processus d'archivage sur leurs propres sites web, en prenant modèle sur celui des administrations précédentes à la Maison Blanche. »

« La recommandation la plus importante est peut-être la suivante :

Le HHS ne doit jamais adopter une politique visant à réduire au silence les opinions scientifiques dissidentes, créant ainsi l'illusion d'un consensus en faveur de la pensée de groupe au sein des CDC.

Le HHS doit prendre ce rapport au sérieux s'il espère un jour regagner la confiance du public. »

https://d1dth6e84htgma.cloudfront.net/We_Can_Do_This_NIH_PR_Campaign_Report_PUBLIC_82616d81eb.pdf

Source : Péonia (compte X).


lundi 4 novembre 2024

JE N'OUBLIERAI JAMAIS




- Je n'oublierai jamais la police traquant les personnes dans les bois ou sur les plages désertes pendant les confinements.

- Je n'oublierai jamais le « n’appelez pas votre médecin, restez chez vous, prenez du Doliprane », interdisant tout soin précoce, efficace et peu onéreux.

- Je n'oublierai jamais les masques tantôt inutiles, tantôt obligatoires même en extérieur, sous peine d’amende, imposés jusque dans les écoles même aux heures de « récré ».

- Je n'oublierai jamais l'effacement des visages.

- Je n'oublierai jamais les attestations sur l’honneur contrôlables par les forces de l’ordre, justifiant et définissant nos sorties limitées à quelques motifs.

- Je n'oublierai jamais l’exagération des morts qualifiés « covid ».

- Je n'oublierai jamais les 135€ d’amende pour défaut d’attestation ou promenade seul en forêt pour pouvoir respirer sans masque.

- Je n'oublierai jamais les dénonciations des voisins à la police.

- Je n'oublierai jamais nos anciens en EHPAD interdits d’hôpital et « terminés » au Rivotril.

- Je n'oublierai jamais, une pub audio-visuelle pour inciter à mettre Papi et Mamie dans une autre pièce, pendant le repas de Noël.

- Je n'oublierai jamais une vidéo du gouvernement où une grand-mère se retrouve en réanimation après avoir été approchée par sa petite fille.

- Je n'oublierai jamais l’interdiction de traitements potentiels et peu couteux.

- Je n’oublierai jamais l’interdiction de prescrire ces traitements.

- Je n'oublierai jamais le Dr Michel Cymes, sur les antivaccins covid : « Qu'ils se regardent dans la glace et se disent, oui, je peux tuer des gens aujourd'hui. ».

- Je n'oublierai jamais : « On vous vaccinera de force. Moi je vous ferai emmener par deux policiers au centre de vaccination ». Emmanuel Lechypre, journaliste.

- Je n'oublierai jamais : « Les devoirs valent avant les droits. » Emmanuel Macron.

- Je n'oublierai jamais : « Un irresponsable n’est plus un citoyen. » Emmanuel Macron.

- Je n'oublierai jamais le contrôle zélé de ce pass par nos semblables en mal d’autorité ou de supériorité.

- Je n'oublierai jamais l’interdiction des hôpitaux aux malades en cours de traitement non détenteur d’un pass.

- Je n'oublierai jamais : « Greffer un non vacciné c’est gaspiller un organe. » Patrick Evrard, directeur du centre de transplantation de Mont-Godinne à Namur.

- Je n'oublierai jamais Michel Onfray comparant les non-vaccinés à « des racailles, des contaminateurs conscients d’avoir le Sida ou des violeurs de jeunes filles. ».

- Je n'oublierai jamais : « Faisons payer l’entrée en réanimation aux non vaccinés. » Charles Consigny, chroniqueur.

- Je n'oublierai jamais l’obligation vaccinale, au 15 septembre 2021, des soignants, des pompiers et des militaires faisant des réfractaires à cette obligation des « suspendus ».

- Je n'oublierai jamais les soignants applaudis puis suspendus, sans aucune ressource ni indemnité, puisque privés aussi de licenciement.

- Je n'oublierai jamais la passivité, la léthargie et l'acceptation du peuple.

- Je n'oublierai jamais : « Eh bien là, les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Je ne vais pas les mettre en prison, je ne vais pas les vacciner de force. Et donc, il faut leur dire: à partir du 15 janvier 2022, vous ne pourrez plus aller au restau, vous ne pourrez plus prendre un canon, vous ne pourrez plus aller boire un café, vous ne pourrez plus aller au théâtre, vous ne pourrez plus aller au ciné... » Emmanuel Macron.

- Je n'oublierai jamais la fabrique de sous-citoyens dans notre République.

- Je n'oublierai jamais la maltraitance infantile par la multiplication des tests rhinopharyngés invasifs et douloureux imposés par le gouvernement.

Lili Adresan