mercredi 30 avril 2025

Un “antidote” aux injections à ARN messager contre le Covid ?



EFFETS SECONDAIRES INFLAMMATOIRES : COMMENT SOUTENIR SON CORPS APRÈS UNE INJECTION OU UNE INFECTION

Beaucoup s’interrogent sur l’existence d’un “antidote” aux injections à ARN messager contre le Covid.

Soyons clairs : il n’en existe pas.

En revanche, il est possible de soutenir son organisme pour atténuer certains effets secondaires, notamment inflammatoires.

AVERTISSEMENT PRÉLIMINAIRE

Ce protocole a été élaboré par les Forces de radioprotection, chimique et biologique des forces armées de la Fédération de Russie, sur la base de l’expérience clinique, des standards de la médecine militaire et du suivi civil en matière de santé.

Toutefois, ce protocole ne doit en aucun cas être utilisé sans une consultation préalable avec un médecin qualifié. L’automédication, l’administration sans supervision médicale ou l’usage inapproprié peuvent entraîner des effets indésirables graves.

CLARIFICATION IMPORTANTE

Ce protocole ne « supprime » pas et ne « nettoie » pas l’ARNm du corps. Une fois injecté, l’ARNm synthétique est soit dégradé naturellement par les enzymes cellulaires, soit il exerce ses effets biologiques programmés. Aucun traitement existant, y compris celui-ci, ne peut « effacer » l’ARNm introduit dans l’organisme. Le but est de moduler les cascades inflammatoires et de minimiser les dommages secondaires, et non de « réinitialiser » les mécanismes cellulaires une fois activés. La responsabilité médicale, la rigueur scientifique et le respect de la complexité biologique doivent guider toute décision thérapeutique.

PROTOCOLE COMPLET DE SOUTIEN CONTRE LES EFFETS SECONDAIRES INFLAMMATOIRES LIÉS À L’ARNm
Objectif :

Réduction de l’inflammation systémique
Protection contre l’oxydation cellulaire
Soutien à la régénération des tissus

PROTOCOLE 1 – PHASE DE NEUTRALISATION RAPIDE (7 JOURS MAXIMUM)

Approche choc en cas de réaction aiguë ou post-injection récente.

Substances clés :

DMSO pharmaceutique (pur à 99,9 %) :
1 à 2 ml dilués dans 20–30 ml d’eau distillée, une fois par jour (voie orale). Durée : 5 à 7 jours maximum.
Propriétés : stabilisateur membranaire, anti-inflammatoire, antioxydant.
Attention : usage sous supervision médicale obligatoire.

NAC (N-acétylcystéine) :
600 à 1200 mg par jour
Régénère le glutathion, détoxification intracellulaire.

Quercétine + Zinc :
Quercétine 500 mg + Zinc 15–30 mg
Antiviral indirect, immunomodulateur.

Vitamine C liposomale :
2 à 4 g par jour
Réduction du stress oxydatif.

Mesures complémentaires :
Hydratation abondante : 2 litres d’eau pure par jour
Activité physique légère (marche, étirement)
Jeûne intermittent léger (14 heures)

PROTOCOLE 2 - PHASE DE SOUTIEN PROLONGÉ APRÈS EXPOSITION RÉCENTE OU ANCIENNE (30 JOURS)

Approche progressive et continue après la phase aiguë.
Substances principales :

NAC : 600 mg × 2/jour

Quercétine : 500 mg × 2/jour

Zinc : 25–30 mg/jour

Vitamine D3 : 4000 UI/jour

Vitamine C liposomale : 1 g × 2/jour

Glutathion réduit : 500 mg/jour

Curcumine (standardisée 95 %) : 500 mg × 2/jour

DMSO local (usage externe ciblé sous avis médical)

Suppléments complémentaires (optionnels selon le patient) :

Resvératrol : 250 mg/jour

Mélatonine : 3 mg au coucher EFFETS SECONDAIRES POTENTIELS

Lors des premiers jours d’application de ce protocole, certains patients peuvent ressentir :

Légère fatigue
Maux de tête transitoires (effet de détoxification)
Douleurs articulaires temporaires (réaction inflammatoire résiduelle)
Augmentation passagère de la fréquence urinaire
Ces effets sont généralement le signe que le corps évacue des toxines et rééquilibre son métabolisme oxydatif.
Ils disparaissent spontanément en 48 à 72 heures.

EFFETS SPÉCIFIQUES DES PRINCIPAUX COMPOSANTS

DMSO : goût métallique temporaire, irritation gastrique possible, odeur sulfureuse type ail

Vitamine C : inconfort digestif à très fortes doses (rarement diarrhée)

NAC : nausées légères possibles en début de traitement

Curcumine : prudence en cas de traitement anticoagulant

Vitamine D3 : risque d’hypercalcémie


Source : Red sur X.


dimanche 27 avril 2025

Le Premier ministre slovaque interdit les achats gouvernementaux de «vaccins» Covid



«Les injections contiennent des substances non déclarées» : le Premier ministre slovaque interdit les achats gouvernementaux de «vaccins» Covid

«Les vaccins à ARNm contiennent des niveaux extrêmement élevés d'ADN et de substances qui n'ont pas été divulguées par le fabricant», a confirmé Robert Fico s’appuyant sur l’étude révélée par le député slovaque Peter Kotlar.

«Le virus a été créé artificiellement», avait-il conclu (vidéo). 

Kotlar avait également décrit la «pandémie» de Covid-19 comme un «acte de bioterrorisme» et une «opération fabriquée» et accusé Moderna et Pfizer de transformer les personnes vaccinées en «organismes génétiquement modifiés».




Note :

Selon RFK, Bill Gates a eu la prévoyance d'acheter plus d'un million d'actions de BioNTech avant l'apparition du COVID.

La même semaine, Bill Gates, qui supervisait la simulation [de l'événement 201], a acheté 1,1 million d'actions du vaccin BioNTech, devenu plus tard le vaccin Pfizer. Il a ensuite vendu la quasi-totalité de ces actions deux ans plus tard, réalisant un bénéfice de 242 millions de dollars. Une semaine plus tard, il a annoncé que le vaccin était inefficace. C'est ce qu'on appelle une opération de « pump-and-dump ».


L'invention des maladies




L'INVENTION DES MALADIES

par Peter Gotzsche 

Quelles maladies pourrait-on avoir sans le savoir ? Un journal danois a fait une enquête amusante. On a colligé des nouvelles sur une période de 3 mois, à propos de ce dont souffrent les Danois et on en vint à la conclusion, qu'en moyenne, chacun d'entre nous souffrons de deux maladies. En fait, c'est bien pire que cela parce que les journalistes ont recherché sous la rubrique "Les Danois souffrent de...", ce qui signifie que bien des maladies ont été ratées. Peut-être que le motif expliquant que, enquête après enquête, nous, Danois, qui semblons être les gens les plus heureux sur terre, est que nous ne savons pas à quel point nous sommes terriblement malades.

Les 300 000 personnes qu'on prétend souffrir de vessie hyperactive n'étaient pas sur la liste des 12 millions de maladies des Danois, de sorte qu'il faudrait ajouter ces 300 000. Il est bon de savoir qu'on peut réduire la souffrance humaine en ne demandant pas aux gens s'ils ont des ennuis pour uriner et en ne les traitant pas avec des médicaments peu connus.

En 2007, l'Association danoise de l'industrie pharmaceutique avait fait des représentations auprès des politiciens du Parlement et en avait convaincu certains que les bilans périodiques de santé seraient une bonne idée pour prévenir les maladies. Quand un journaliste demanda s'il ne s'agissait pas plutôt de vendre plus de médicaments, par exemple contre l'hypertension ou le cholestérol, le porte-parole de l'industrie reconnut que c'était bien le cas.

En 2011, notre nouveau gouvernement avait les évaluations régulières de la santé dans son programme mais je demandai à rencontrer la ministre de la Santé à qui j'ai dit que la révision Cochrane q'on venait de terminer et qui portait sur 16 études comptant près de 250 000 participants et près de 12 000 décès, n'avait trouvé aucun effet des évaluations périodiques de la santé sur la mortalité totale, la mortalité par cancer, ni la mortalité cardiovasculaire. Un de mes collègues lui parla d'une grand étude danoise qu'il venait d'achever dans laquelle on n'avait pas pu trouver un effet. Les bilans périodiques de santé donnent lieu à plus de diagnostics de maladies ou de facteurs de risques ce qui entraîne plus de consommation médicamenteuse et plus d'effets nocifs. Notre conclusion était en conséquence, très ferme : il ne faut pas faire de bilans périodiques de santé. La ministre agréa et dit que ce serait la première fois que le gouvernement ne tient pas une promesse pré-électorale d'une manière fondée sur la preuve. Notre révision épargnera des milliards aux contribuables et un tas de souffrances.

Voici un exemple d'effet malheureux qu'un bilan apparemment inoffensif de santé peut infliger. Un écrivain très prolifique perdit brusquement tout intérêt pour sa vie mouvementée. Les jours étaient interminables et difficiles à un point tel qu'il songea au suicide comme seule porte de sortie. Il était convaincu d'être de venu vieux et de n'avoir plus la force. Après un mois, il lui apparut soudainement qu'il pourrait s'agir des médicaments. Ces pilules étaient des bêta-bloqueurs et ses médecins avaient oublié de lui dire qu'ils pouvaient provoquer de la dépression. Il cessa de les prendre et se rétablit.

Cette histoire ne commence pas par un bilan périodique de santé mais elle aurait pu. Très souvent, les patients ne sont pas alertés au fait que la détérioration de leur condition puisse être provoquée par les médicaments qu'ils consomment. Il est malencontreux que leurs médecins puissent ne pas reconnaître que les nouveaux symptômes soient des effets secondaires d'un premier médicament et qu'ils en prescrivent un second pour traiter ces symptômes et ainsi de suite.

L'industrie pharmaceutique et les médecins à sa solde ne fichent même pas la paix aux jeunes et robustes personnes. En appliquant les consignes de pratique européennes sur la maladie cardiovasculaire à une population norvégienne, des chercheurs ont trouvé que 86 % des hommes se trouvaient à risque élevé de maladie cardiovasculaire à l'âge de 40 ans. L'ironie est que les Norvégiens jouissent d'une des longévités les meilleures du monde. Dans une autre étude, les chercheurs ont trouvé que 50 % des Norvégiens avaient un cholestérol ou une tension sanguine excédant le niveau à partir duquel on traite, dès l'âge de 24 ans !

Il en va de même pour l'ostéoporose. En 1994, un petit groupe d'étude associé à l'OMS a défini la densité osseuse normale comme celle de jeunes femmes adultes. C'était passablement utopique puisqu'en vieillissant, pratiquement toute se détériore. On ne peut tous être qu'hors limites de la normale, quand on se compare à des jeunes femmes. De manière complètement arbitraire, le groupe avait définit que l'ostéoporose était présente quand la densité minérale osseuse se trouvait à 2,5 écarts-types en dessous de celle d'une jeune femme, et ne s'arrêta même pas là en définissant l'ostéopénie comme présente quand la mesure se situait entre 1,0 et 2,5 écarts-types en dessous. Ces critères étaient conçus pour la recherche épidémiologique mais constituaient une mine d'or pour l'industrie pharmaceutique puisqu'ils rendaient « anormales », la moitié des femmes plus âgées. L'industrie pharmaceutique commanditait la rencontre où l'on a créé ces définitions, ce qui peut avoir eu de l'influence.

Un test de la densité minérale de l'os ne peut prédire que le sixième des fractures de la hanche, mais en dépit de ces observations qui donnent à réfléchir, le test est devenu la règle d'or pour décider qui il convient de traiter. Les sites de consommateurs sur Internet sont habituellement commandités par l'industrie et prétendent que le test est bon et prédit le risque de fracture alors que les organismes d'évaluation de la technologie en santé disent le contraire. L'effet des médicaments est faible même pour les femmes à risque élevé de fractures. Quand 100 femmes ayant déjà souffert d'une fracture vertébrale sont traitées, une fracture de la hanche est peut-être prévenue. Je dis peut-être parce plusieurs études suggèrent que le traitement à long terme produit l'effet contraire, une augmentation des fractures de la hanche qu'on peut expliquer par le fait que le nouvel os suscité par les médicaments n'est pas du même type que celui qui se constitue naturellement.

De plus, les gens à qui l'on dit qu'ils ont les os fragiles peuvent cesser de faire de l'exercice, ce qui est une mauvaise idée, puisque l'exercice renforce les os. Une femme que je connais qui était parfaitement bien portante a subi un examen au scanner des os pour aucun motif justifiable et on lui a dit quelle avait des os cassants. Elle était passionnée des sports quelle pratiquait, mais les arrêta sur-le-champ, redoutant de tomber et de s'infliger une fracture. Ainsi, le diagnostic a commencé à lui empoisonner l'existence et à augmenter son risque, puisque l'exercice prévient les fractures. C'est de la mauvaise médecine que de pratiquer du dépistage sur des bien-portants sans savoir à partir d'études randomisées si le dépistage fait plus de tort que de bien. Ce qui n'est pas le cas pour l'ostéoporose ; il n'y a pas d'études du dépistage. Je ne dis pas que personne ne devrait être traité ; je dis simplement qu'il y a beaucoup trop de gens qu'on traite. L'industrie pharmaceutique doit être immensément reconnaissante pour l'aide du groupe de l'OMS, puisque l'industrie vend aussi ses médicaments pour l'ostéopénie, qui constitue un marché de près de 400 millions de femmes.

La folie de l'ostéoporose-ostéopénie a fait l'objet de plusieurs plaisanteries. Devrait-on aussi traiter ceux qui sont à risque d'être à risque (ceux qui ont de l'ostéopénie qui pourraient franchir la frontière arbitraire vers l'ostéoporose quand ils vieillissent) ? Quand un collègue quitta son domicile pour des vacances de ski, il me dit qu'il souffrait maintenant d'une pré-fracture.

Selon une autre plaisanterie qu'on prend malheureusement au sérieux, les gens organisent des conférences sur la préhypertension, laquelle commence quand la pression diastolique dépasse 80 mm Hg. Une source de tragédie : l'American Heart Association recommande de dépister les enfants pour hypertension, à compter de 1'âge de trois ans. Nous avons montré dans notre révision des évaluations de la santé que le dépistage de l'hypertension (à n'importe quel âge) ne sert à rien.

Parlons maintenant du prédiabète. On a effectué des études pour démontrer qu'en traitant les bien-portants avec un médicament réduisant le glucose, on peut réduire leur risque de diabète. Une sinistre plaisanterie. Puisque le diagnostic dépend du niveau du glucose sanguin, il n'était pas nécessaire de faire des études, le résultat étant connu d'avance, une sorte de preuve circulaire. En conséquence, une fois que le traitement est arrêté, il n'y a pas de différence sur l'incidence du diabète, donc le médicament ne prévient rien. Toute cette entreprise n'était qu'une opération de gonflement des ventes de médicaments comme la rosiglitazone, qu'on a étudiée dans des études comme DREAM. Le rêve se transforma en cauchemar puisque le médicament tue les gens. Un autre problème à résoudre : comment trouver les bien-portants et commencer le traitement ? On ne peut faire cela sans dépistage et nous avons démontré dans notre révision des évaluations de santé que le dé pistage du diabète ne fonctionne pas. Il ne réduit ni la morbidité ni la mortalité.

Il est semble-t-il facile de séduire des bien-portants et les persuader de prendre des médicaments dont ils n'ont pas besoin pour traiter une maladie qu'ils n'ont pas. 

Peter Gotzsche auteur du livre :

"Remèdes mortels et crime organisé - Comment l’industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé"

Les médicaments d'ordonnance sont la troisième cause de mortalité après les maladies cardiaques et les cancers. Dans cet ouvrage révolutionnaire, Peter C. Gotzsche lève le voile sur les comportements frauduleux de l'industrie pharmaceutique dans les domaines de la recherche et de la commercialisation et sur son mépris moralement répugnant pour la vie humaine. L'auteur établit des rapprochements convaincants entre l'industrie pharmaceutique et l'industrie du tabac et révèle l'extraordinaire vérité derrière les efforts déployés pour semer la confusion et détourner l'attention du public et des politiciens.

PDF gratuit ICI.

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Les origines de Big Pharma