EFFETS SECONDAIRES INFLAMMATOIRES : COMMENT SOUTENIR SON CORPS APRÈS UNE INJECTION OU UNE INFECTION
Beaucoup s’interrogent sur l’existence d’un “antidote” aux injections à ARN messager contre le Covid.
Soyons clairs : il n’en existe pas.
En revanche, il est possible de soutenir son organisme pour atténuer certains effets secondaires, notamment inflammatoires.
AVERTISSEMENT PRÉLIMINAIRE
Ce protocole a été élaboré par les Forces de radioprotection, chimique et biologique des forces armées de la Fédération de Russie, sur la base de l’expérience clinique, des standards de la médecine militaire et du suivi civil en matière de santé.
Toutefois, ce protocole ne doit en aucun cas être utilisé sans une consultation préalable avec un médecin qualifié. L’automédication, l’administration sans supervision médicale ou l’usage inapproprié peuvent entraîner des effets indésirables graves.
CLARIFICATION IMPORTANTE
Ce protocole ne « supprime » pas et ne « nettoie » pas l’ARNm du corps. Une fois injecté, l’ARNm synthétique est soit dégradé naturellement par les enzymes cellulaires, soit il exerce ses effets biologiques programmés. Aucun traitement existant, y compris celui-ci, ne peut « effacer » l’ARNm introduit dans l’organisme. Le but est de moduler les cascades inflammatoires et de minimiser les dommages secondaires, et non de « réinitialiser » les mécanismes cellulaires une fois activés. La responsabilité médicale, la rigueur scientifique et le respect de la complexité biologique doivent guider toute décision thérapeutique.
PROTOCOLE COMPLET DE SOUTIEN CONTRE LES EFFETS SECONDAIRES INFLAMMATOIRES LIÉS À L’ARNm
Objectif :
Réduction de l’inflammation systémique
Protection contre l’oxydation cellulaire
Soutien à la régénération des tissus
PROTOCOLE 1 – PHASE DE NEUTRALISATION RAPIDE (7 JOURS MAXIMUM)
Approche choc en cas de réaction aiguë ou post-injection récente.
Substances clés :
DMSO pharmaceutique (pur à 99,9 %) :
1 à 2 ml dilués dans 20–30 ml d’eau distillée, une fois par jour (voie orale). Durée : 5 à 7 jours maximum.
Propriétés : stabilisateur membranaire, anti-inflammatoire, antioxydant.
Attention : usage sous supervision médicale obligatoire.
NAC (N-acétylcystéine) :
600 à 1200 mg par jour
Régénère le glutathion, détoxification intracellulaire.
Quercétine + Zinc :
Quercétine 500 mg + Zinc 15–30 mg
Antiviral indirect, immunomodulateur.
Vitamine C liposomale :
2 à 4 g par jour
Réduction du stress oxydatif.
Mesures complémentaires :
Hydratation abondante : 2 litres d’eau pure par jour
Activité physique légère (marche, étirement)
Jeûne intermittent léger (14 heures)
PROTOCOLE 2 - PHASE DE SOUTIEN PROLONGÉ APRÈS EXPOSITION RÉCENTE OU ANCIENNE (30 JOURS)
Approche progressive et continue après la phase aiguë.
Substances principales :
NAC : 600 mg × 2/jour
Quercétine : 500 mg × 2/jour
Zinc : 25–30 mg/jour
Vitamine D3 : 4000 UI/jour
Vitamine C liposomale : 1 g × 2/jour
Glutathion réduit : 500 mg/jour
Curcumine (standardisée 95 %) : 500 mg × 2/jour
DMSO local (usage externe ciblé sous avis médical)
Suppléments complémentaires (optionnels selon le patient) :
Resvératrol : 250 mg/jour
Mélatonine : 3 mg au coucher EFFETS SECONDAIRES POTENTIELS
Lors des premiers jours d’application de ce protocole, certains patients peuvent ressentir :
Légère fatigue
Maux de tête transitoires (effet de détoxification)
Douleurs articulaires temporaires (réaction inflammatoire résiduelle)
Augmentation passagère de la fréquence urinaire
Ces effets sont généralement le signe que le corps évacue des toxines et rééquilibre son métabolisme oxydatif.
Ils disparaissent spontanément en 48 à 72 heures.
EFFETS SPÉCIFIQUES DES PRINCIPAUX COMPOSANTS
DMSO : goût métallique temporaire, irritation gastrique possible, odeur sulfureuse type ail
Vitamine C : inconfort digestif à très fortes doses (rarement diarrhée)
NAC : nausées légères possibles en début de traitement
Curcumine : prudence en cas de traitement anticoagulant
Vitamine D3 : risque d’hypercalcémie
Source : Red sur X.